Dans la province du Bas-Uele en RDC, de très nombreux témoignages et avis favorables se multiplient en faveur de la candidature du professeur Jean-Robert Nzanza Bombiti aux élections des gouverneurs et vice-gouverneurs prévues le 06 mai prochain.
Acteurs politiques, société civile, scientifiques, leaders d’opinion ou observateurs avertis, encensent unanimement un candidat idéal au profil inégalé avec de nombreuses années d’expérience et un riche carnet d’adresse qu’il faut pour relever les défis multiformes auxquels la jeune province reste confrontée.
Orientalinfo.net se propose de faire le tour d’horizon de quelques réactions suscitées sur la toile par la candidature de ce technocrate pour gouverner à la destinée du Bas-Uele caractérisé par des longues années d’immobilisme après le démembrement de l’ex grande province Orientale.
L’homme qu’il faut
« J’ai compris que le prof Bombiti est le candidat idéal pour le Bas-Uele. D’ailleurs son vice est un homme de constance politique que je respecte beaucoup car je le connais bien », réagit Patrick Bosso, jeune conscient qui compte sur la maturité des élus provinciaux pour opérer un choix judicieux du futur gouverneur de la province.
Zengama Matthieu, un natif de Bas Uélé estime qu’avoir à la tête de cette province un homme de cette trempe et qui maîtrise les richesses du sol est déjà un atout :
« En plus de ses qualifications académiques, le professeur Jean Robert a un carnet d’adresses très fourni à même de ramener des investisseurs au Bas-Uélé qui n’attend que ça. Je ne dis pas que Jean Robert est la seule solution pour notre jeune province, mais je pense qu’il est, au regard de la liste affichée à la CENI, une providence pour cette province. Il n’a pas attendu d’être autorité de la province pour songer à son épanouissement. La fondation qui porte son nom et l’université dont il est co – promoteur, sont des actes qui témoignent du souci et de la volonté qui l’animent pour booster le Ba Uélé. Le temps est venu de laisser cette province entre des mains expertes à travers ces élections qui sont l’une des chances rares pour la sauver de son sous-développement dû au retard pris ».
L’heure a sonné, ajoute M. Zengama :
« Le Bas-Uele est une province qui regorge beaucoup des ressources et même des atouts qui pourront alimenter toute la RDC. Le moment est venu de prouver à la face du monde que nous pouvons par nous mêmes, au travers nos fils et filles, développer notre province. », lance-t-il.
À lire aussi : Bas-Uele : Bombiti Nzanza, candidat favori pour le gouvernorat
Pour Adamo Rocky, natif du Bas-Uele vivant dans la diaspora, l’arrivée du Prof Nzanza à la tête de la province du Bas-Uele, va développer l’idée d’une province post-tâtonement, réconciliée avec elle-même, et capable de se projeter dans l’avenir en s’inspirant dun modèle de projet de société correcteur susceptible de poser les fondamentaux du développement durable aux quatre coins de cette province :
« Le Prof Nzanza, dans ce que j’ai découvert, se présente comme l’un des rares intellectuels du Bas-Uele dont l’expertise est souvent sollicitée au-delà de nos frontières. Laissez-moi citer la Chine, l’Afrique du Sud et le Kenya. Tenez, à moins de 5 ans, soit de 2009 à 2013, je note dans son actif, 17 conférences et colloques sur l’agriculture auxquels il a apporté ses contributions en tant que scientifique, planificateur, gestionnaire, évaluateur et l’homme de terrain », note-t-il.
À lui de renchérir :
« J’estime que, le moment est tout indiqué pour le Bas-Uele de tirer profit de ce dont le Prof Jr. Nzanza Bombiti est disposé à rédonner comme espoir à notre population. […] ce candidat gouverneur, de part de nombreux témoignages, traduit un leadership plein de responsabilité du vivre ensemble. Il nous faut une personnalité qui va permettre d’éteindre la polémique et de gagner en crédibilité à la fois aux yeux de nos populations et des investisseurs. Bas-Uélé ne va pas se developer seul. Le nom du Prof Nzanza se rivalise avec ceux des autres intellectuels de l’Afrique dans le domaine agricole. Google témoin.»
Agriculture, clé de voûte
Au regard de son parcours élogieux en tant que scientifique de premier ordre, le prof Bombiti Nzanza est l’homme qu’il faut face à une Province qui a grandement besoin d’être gérée comme une entreprise et non comme butin politique afin de croître indéfiniment, pense Modeste Modi kilo :
« J’estime en toute humilité que ce Candidat mérite d’être élu pour concentrer le gros de ses efforts, en Expert, dans le secteur de l’agriculture moderne, mécanisée et écologique, et ainsi essayer de réveiller ce mastodonte endormi, cette mère nourricière impuissante de nourrir convenablement ses enfants. », dit-il avant de clarifier :
« Je ne dis pas que pour bien diriger et gérer cette Province, il faut nécessairement être Dr en Sciences Agronomiques et/ou Expert en Administration des Affaires, mais je lie ces qualifications et compétences aux vrais problèmes majeurs de notre Province pour sa remise sur rail. Avec ses ouvertures extérieures, il peut facilement se servir de deux et être une réponse approprié aux questions majeures de la dite Province. […] Je suis convaincu que le Bas-uele peut totalement se développer très rapidement grâce simplement à l’agriculture de pointe. Et un Chevronné en la matière, de surcroît Grand Scientifique, peut très bien piloter un projet dans ce sens, avec conscience et grande vision, si l’influence politique ne fausse pas les choses ».
Nous bouclons cette série de réactions non exhaustive sur la candidature du prof Bombiti Nzanza au gouvernorat du Bas-Uele par celle de M. Hibrahim qui croit fermement que c’est une aubaine pour la province :
« Je crois mordus que c’est le candidat qui a toutes les compétences et qualités nécessaires pour booster le développement du Bas-Uele. Il est le candidat de l’Union sacrée. Pour qu’une province évolue bien il faut être en bon terme avec la hiérarchie. […] Je pense que nos Députés sont conscients de cette réalité et vont en tenir compte car la Province du Bas-Uele a cette fois-ci besoin d’un interlocuteur valable auprès du Gouvernement central. Le choix de nos Députés va définir l’avenir du Bas-Uele et de sa population. Nous avons confiance en eux. »
Certes, cette candidature suscite sans équivoque une panoplie de réactions positives dans l’opinion publique. Mais, la population du Bas-Uele qui aspire à un changement de paradigme de gouvernance devra retenir son souffle jusqu’à la date fatidique des élections dans lesquelles, seuls les grands électeurs ont la charge de valider le profil et le projet de société d’un candidat avant de lui confier les rênes de la province.