C’est John Barret, directeur de ce site inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO qui annonce cette disponibilité.
“ Le parc confirme aux communautés riveraines et aux autorités son engagement au dialogue pour la recherche des solutions durables dans les meilleurs délais en vue d’une reprise des activités dans un climat apaisé. ” a-t-il écrit.
Dans un communiqué signé ce jeudi 17 octobre 2019 à l’intention des communautés riveraines du complexe de la Garamba, le parc a également indiqué avoir pris connaissance des revendications de la société civile forces vives de Dungu, Faradje et Niangara, contenues dans le mémo daté du 09 octobre dernier.
Rappelons que cette annonce intervient deux jours après l’observation de deux journées ville morte décrétées par la société civile et la nouvelle société civile pour protester contre la violation du protocole d’accord relatif à la mise en oeuvre de projet de conservation des ressources naturelles et développement durable du complexe de la Garamba en RDC signé le 16 février 2019 et la mise en application d’une politique discriminatoire contre les locaux.
Ces forces vives exigent aussi le retrait pur et simple de l’arrêté ministériel N° 0532/CAB.MIN/MINES/01/2019 du 23 août 2019 portant interdiction de l’exploitation artisanale de l’or dans les domaines de chasse de Gangala Na Bodio, Azande et Mondo Missa dans la province du Haut-Uele.
Héritier Mungumiyo