Les travailleurs de la société Kibali GoldMines vont élire ce jeudi 26 novembre 2020 leurs délégués syndicaux pouvant les aider à la défense de leurs intérêts au près de l’employeur.

Parmi les structure en lice se trouve l »organisation syndicale des travailleurs unis du Congo Stuco en sigle partant comme favori au regard de son bilan positif de son parcours. Créé depuis deux ans, STUCO s’est hissé dame des pions aux autres organisations syndicales grâce à son savoir faire dans le domaine, constate le journaliste Ruphin Adambu Abakesomi. Il est apprécié aujourd’hui par les travailleurs au sein de Kibali à cause de plusieurs raisons notamment :

La transparence et la hauteur de la mission de STUCO en faveur de ses membres affiliés, la maîtrise des désidératas majeurs des travailleurs congolais et de Kibali en particulier, la defense des droit du travail, une meilleure santé et une bonne fin de carrière, la contribution efficace à la formation intégrale du leadership syndical en RDC afin d’améliorer les conditions des vies sociales, économiques et du travail des employés en particulier et ceux de tous les patriotes du pays en général, la gestion assurée par des travailleurs d’une expérience professionnelle avérée, formés en syndicalisme ayant été des leaders, des délégués, des permanents syndicaux, des Opj à compétences restreintes et générales;

Notons que les membres de cette organisation syndicale ont des droits et devoirs, et Stuco garantit l’éducation ouvrière suivie de la collaboration avec les ministères et services étatiques.

Depuis un temps, Stuco est en partenariat avec plus de cinq entreprises dans le Haut-Uélé sans compter d’autres partenariats en dehors de la province et ses ambitions restent fonder pour une représentation future au niveau africaine et mondiale.

Au vu de ce qui précède, il ne fait l’ombre d’aucun doute que STUCO s’avère un meilleur choix car assurant par son travail quotidien la défense de la liberté syndicale et du droit de négociation collective, d’engagement dans le dialogue social et de promotion du travail décent, à l’instar d’autres structures syndicales indispensables pour garantir le développement durable.

Redaction