Le doyen d’âge du barreau du Haut-Uele, Me Nanou Gatho, a énergiquement protesté contre une rumeur faisant état d’une relation amoureuse clandestine entre sa femme Fatou Diawara et l’imperturbable jeune sénateur Jean Bakomito Gambu, une bourde propagée dans les réseaux sociaux depuis l’après-midi de ce mardi 31 septembre 2021.
Dans un entretien avec la rédaction d’Orientalinfo.net au lendemain de la survenance de cette rumeur, il indique que c’est une fausse histoire inventée de toute pièce et un coup fourré par des médiocres aux abois et en panne de stratégies politiques :
« Je n’ai pas de commentaires. Ça ce n’est pas un projet politique. Si c’était pour une contradiction politique oui, mais si ce sont des gens qui n’ont pas de stratégies, qui n’ont pas d’intelligence assez élevée, estiment que c’est ça le combat, bon c’est leur affaire. Ce sont des médiocres. C’est ça ma réponse. Moi, j’aime mon épouse car elle m’est fidèle, je suis père de huit enfants, ça me … (regret), ce sont des médiocres. C’est tout ! », a réagi Me Gatho.
Cette réaction vient à nouveau confondre et désillusionner les détracteurs du jeune sénateur surtout dans sa province, le Haut-Uele. Incapables de l’affronter sur le front politique, ces derniers en perte de vitesse, s’évertuent désormais à des coups bas propres au politiciens de la rue en culotte pour estimer saper sa réputation et se donner une bouffée d’oxygène sur fond de mensonges et grotesques montages en plus d’exalter le tribalisme et la xénophobie à l’horizon des enjeux Électoraux de 2023.
« Ils craignent la montée en flèche de sa popularité, son intelligence et sa vision », note un internaute révulsé par cette folie politique caractérisée par des montages saugrenus des histoires invraisemblables à faire dormir debout comme la drogue ‘bombée’.
Notons que c’est le deuxième acte ridicule signé par ces disciples de Caïn devenus moins convaincants sur le terrain où l’espoir utopique suscité au départ laisse planer progressivement le désespoir et une peur bleue. La veille des élections des membres de l’actuel bureau du sénat, ils avaient allégué que le sénateur bakomito avait enceinté la femme de son collège sans en apporter la moindre preuve ni citer un seul nom.
Plainte en justice
Pour sa part, la Fondation Jean Bakomito s’est résolue de porter plainte contre auteurs de cette forfaiture qu’elle qualifie des « imposteurs, intolérants aux pratiques démocratiques et allergiques aux débats d’idées » afin que la lumière soit faite au sujet de ces fausses allégations faites sur son responsable :
« Après avoir lu avec amertume sur la toile une rumeur selon laquelle le sénateur Jean Bakomito aurait rendu mère la femme d’un de ses collègues , la Fondation Bakomito sort de son silence pour dénoncer une cabale montée de toutes pièces par les détracteurs de cet élu du Haut-Uele, visant à ternir son image à la suite de ses nombreuses réalisations faites sur terrain au profit de sa base« , lit-on dans un communiqué signé par Maître Étienne Tshoni Mukendi, coordonnateur du département juridique et relayé par CAS-INFO.
Nanou Mokuba Enkatoya