claration d’une frange des communautés locales de Faradje et Watsa à l’encontre du président de l’assemblée provinciale du Haut-Uele, Justin Zamba Ndezu.
Selon le coordonnateur de cette structure citoyenne, aucune consultation préalable n’a été menée pour ce genre de déclaration politique provenant des structures censées être apolitiques notamment la société civile congolaise et la nouvelle sociétécivilecongolaise :
« Cela n’engage en rien la communauté de Faradje. Il n’y avait pas eu une consultation communautaire à Faradje par rapport à cette déclaration.
Et les notables de Faradje se disent non concernés par cette déclaration. Ces derniers recommandent aux structures citoyennes que prochainement tout ce qui engage la communauté de Faradje devra faire l’objet d’une consultation communautaire et non une affaire de certains individus au nom et à la place de la communauté afin d’éviter certains dérapages du passé.», a réagi Jean-Claude Malitano.
Il se dit stupéfait par la triche dans la déclaration faussement présentée comme celle des communautés de Faradje pour duper l’opinion pourtant elle n’en est une.
Le week-end dernier, la ligue Mbila et certains acteurs de la société civile congolaise de Watsa et Faradje ont décrié, dans une déclaration publique, ce qu’ilsqualifient d’une crise politique à l’assemblée provinciale et l’incompétence du président de cet organe délibérant qui se traduiraient d’après eux par la non tenue des plénières devant statuer sur la validation des mandats des suppléants et le budget 2025. Des accusations balayées d’un revers de la main par le directeur de Cabinet de l’incriminé, invitant les auteurs de cette déclaration à la lecture minutieuse des lois pour éviter toute confusion publique.
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