Securite

Dépourvus généralement de tout, ces déplacés se trouvent pour la plupart dans des familles d'accueil du côté de la chefferie de Walese, située à la frontière avec l'ituri. Ces informations sont confirmées par des sources sécuritaires. Redoutant une probable infiltration dans ce mouvement de masse, la police indique vouloir renforcer ses dispositifs dans ce coin du territoire de Watsa pour parer à toute éventualité.

Ces malfrats opérant avec des armes blanches et par fois à feu ne laissent rien sur leur passage nocturne dans les domiciles de la paisible population. Ils opèrent aussi des viols sur des femmes et jeunes filles. Couteau, barres de fer et autres ont été saisis lors de leur arrestation au quartier Camp Ndombe, a expliqué le commandant intérimaire de la police en territoire de Watsa, présidant lesdites cérémonies.

Des sources concordantes rapportent que ces hommes armés ont procédé à un pillage systématique de ce Centre de Négoce avant de se retirer. Le bilan provisoire fait état de plusieurs boutiques dépouillées, des chèvres, poules, argents et autres emportés.

Que la population prenne soin de nous appeler par voie téléphonique en cas d'un problème. Chaque commandant de l'entité est tenue de disponibiliser à la population son numéro de contact afin de nous permettre d'intervenir dans un délai court à l'instar de +243823464915 . Ce la n'est possible qu'à condition d'être appelé aussi en temps. » a fait savoir le commissaire supérieur Éric Biamungu Mpereza

La poursuite par les éléments du secteur opérationnel Uele est en cours pour libérer les otages restant aux mains de leurs ravisseurs et traquer l'ennemi rassure-til.

Du coté de l'armée régulière, un sous lieutenant est tombé dans le champ d'honneur et 2 militaires blessés lors de ce combat.

Ils étaient pour meurtre, vol qualifié, rébellion, violation des consignes, outrage, évasion des détenus et autres.

Le bilan provisoire fait état de Plus de dix maisons incendiées et un policier blessé par calibre douze lors de ces manifestations.

D'après Gloribert Mupaya Nekawe, directeur de cette maison carcérale, c'est le manque de nourriture qui a provoqué le soulèvement des prisonniers ayant favorisé l'évasion. Ils ont profité de l'heure où quelques d'entre eux devraient être conduits à la toilette après avoir chanté toute la nuit.

L'ordre d'arrêter le pasteur Honoré Dusa est venu du Procureur Général de la République du Parquet de Kisangani. Il est accusé d'incitation de la population à un soulèvement contre les éleveurs etrangers MBORORO qui sèment terreur et désolation dans le Chef de la population dans ce coin du pays d'après les sources sécuritaires.